Couardise...

Place à un mot vieillot, désuet, suranné, place à un grand coup de gueule de fin de semaine... pourquoi aborder un thème aussi spécial, probablement parce que le Cap'taine et son équipage doivent faire face aujourd'hui à une grande épreuve et qu'elle est bordée d'intentions mauvaises de la part de personnes proches. Le poète français Jacques Audiberti (qui s'illustra principalement dans l'écriture de pièces de théâtre) écrit un jour : "La plus grande couardise consiste à éprouver sa puissance sur la faiblesse d'autrui."

Les vautours rôdent...

La couardise, c'est simplement la lâcheté, entourée de peur, peur de l'autre probablement, mais surtout peur de se regarder en face. Je ne vais pas pousser trop loin le ciblage de cet article aujourd'hui, vous comprendrez de quoi il en retourne, et je sais que le terme que je dénonce ici, va aussi être lu par les individus qui ont fait ce choix. Oui, telle est le paradoxe ultime, ce blog est lu également, non pour suivre l'épopée de Cap'taine Romain et des jolis produits qu'il présente, mais aussi pour le surveiller, pour le prendre en défaut, ne retenant qu'une version complètement partialle  et aprtielle des propos. Ainsi, figurez-vous qu'on m'a accusé de porter atteinte à la famille de ma jolie pirate, voire de nuire professionnellement à cette dernière, individuellement. On a rapporté mes écrits et mes articles devant la justice française, m'accusant de mentir, de manipuler. On a traité cet instrument publicitaire qu'est le blog de minable, de nul... vous l'avez compris, si tel était le cas, ça ferait bien longtemps que ce blog aurait été fermé pour atteinte à la vie privée, pour fausses accusations, pour diffamation carrément ! Mais on veut bien lire ce que l'on veut lire, ce qui dérange, c'est que ce blog est un espace de parole, une tribune où les bonnes choses que fait l'être humain, comme les mauvaises, ont leur place...

Reculer pour mieux rouler !

Insectes à rétrofriction, Drei Magier : 7,50 €

Ils sont magnifiques ces petits insectes à rétrofriction ! Alors, si je veux les vendre à tout le monde, je dis que c'est des sauterelles, et si je veux être honnête, je dis que c'est des cafards !!! Mais bon, ça repousse un peu, l'image de ces bestioles qui grouillent, qui détalent dès que la lumière vient... je suis désolé, mais comme image, moi je trouve ça parfaitement bien choisi pour parler des couards ! Hors contexte, les enfants adorent jouer avec ce qui peut éventuellement les effrayer en temps normal. Et ça me fait penser à une réflexion d'Aristote qui notait que l'homme aime à représenter ce qui lui fait horreur... (La poétique, chapître IV "II. Le fait d'imiter est inhérent à la nature humaine dès l'enfance; et ce qui fait différer l'homme d'avec les autres animaux, c'est qu'il en est le plus enclin à l'imitation : les premières connaissances qu'il acquiert, il les doit à l'imitation, et tout le monde goûte aux imitations. III. La preuve en est dans ce qui arrive à propos des oeuvres artistiques; car les mêmes choses que nous voyons avec peine, nous nous plaisons à contempler l'exacte représentation, telles, par exemple, que les formes des bêtes les plus viles et celles des cadavres.")

Ce qui ne tue pas...

Vous savez que je n'aime pas trop les citations, elles sont pour moi par défaut, un moyen de réflexion, comme si toute la vérité se trouvait synthétisée dans une courte phrase, et surtout dans les espaces blancs entre les mots. Mais celle de notre ami Jacques pointe un élément intéressant, elle met en tension lacheté et faiblesse. Comme si la plus grande des lachetés s'exprimait au moment de la plus grande faiblesse d'autrui. Alors, quels sont les moments dans la vie où nous sommes les plus fragilisés ? Lorsqu'on a été trahi par quelqu'un dans sa relation amoureuse ? Lorsqu'on a été licencié ? Lorsque nous sommes malades ? Oui, probablement. Lorsque nous sommes confrontés à la mort ? Evidemment. Et c'est là que la colère m'étreint, comment des personnes peuvent se cacher derrière des murs de pseudos valeurs et fausses intentions, comment des personnes arrivent encore à désirer régler des comptes minables dans ces moments là ? Sachez que si vous êtes confrontés à ce genre de situation, vous n'êtes pas seul, je veux dire, il ne faut pas rester seul. Parfois, ce genre de délire est partagé par des familles entières, aveuglées, à coté de leurs pompes qui chaussent trop grandes. Il faut s'entourer, pour faire face à la méchanceté, à la bétise... j'aurai certainement l'occasion, malheureusement de reparler de tout ça, et dans tous les cas, il faut bien que la couardise comprenne qu'à un moment donné, arrive la lumière... ne resteront alors que les pauvres regrets d'avoir été que l'ombre de ses valeurs, que l'ombre de son intelligence, que l'ombre de sa vie...

Bon courage !

Cap'taine Romain !

Pour contenir les mauvaises ondes de cet article, je veux le terminer par des jets de lumière plutôt que de pierres, mes mousses, ma jolie pirate, l'Amiral bienveillant, et le vaisseau mère du Cap'taine. Ce noyau dur présent, aimant. Et le Cap'taine peut compter sur les amis, témoins extérieurs des navigations et divagations de part et d'autre. Je veux croire que la méchanceté ne peut faire pousser que de la tristesse, et que la joie se cultive dans les vies dénuées de haines portées aux autres. Des moments bien difficiles arrivent, mais c'est la tête haute que l'équipage complet les franchira...

(Doudou Bérengère l'étoile de mer, Doudou viens-tu ? : 15 €)

Une bonne étoile, c'est toujours bon à prendre ! ^^